Saving Grace
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 Randall EASTWOOD | In a plastic box

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Randall Eastwood

Randall Eastwood


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Randall EASTWOOD | In a plastic box Empty
MessageSujet: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyLun 2 Juin - 23:59

Randall EASTWOOD | In a plastic box Some_small_way
BY SOME_SMALL_WAY @ LJ



    I. Avant le crash

    Nom : Eastwood.
    Prénoms : Randall Pearl Aubrey.
    Surnoms : Outre ce prénom qui offre une panoplie de petits surnoms, Randall n’échappe donc pas au très fameux ‘Randie’, ou même Andie. Lorsqu’elle était plus jeune, on la surnommait ‘Poupée’ en rapport à sa chevelure blonde soyeuse et sa peau délicate. Aujourd’hui, il n’est qu’utilisé par des dragueurs un peu lourd, malheureusement.
    Âge : La demoiselle a déjà vingt-huit longs printemps derrière elle.
    Date de naissance : Randall est née une journée ensoleillée d’Août, un dix-huit plus précisément.
    Lieu de naissance : C’est dans la capitale des Etats-Unis à Washington D.C. que Randall naquit.
    Nationalité : La jeune Eastwood est tout ce qu’il y a de plus américain, sans aucune autre origine quelconque, connue du moins.

    Groupe sanguin : Tout comme sa mère, la jeune Randall est O – (négatif). Elle a d’ailleurs donné plusieurs fois son sang, étant donneuse universelle.

    Occupation : Randall est conseillère au sein de la sous commission à l’action militaire au Capitole Américain et est un important contact entre le gouvernement et la NSA. Une occupation peu commune certes, qui lui a été décernée grâce à quelques bons dires de son cher père sénateur. Elle n’est pas un agent de terrain, mais une excellente technicienne qui connaît à peu près tout des dernières technologies informatiques. Aujourd’hui, elle est en Australie en temps que représentante de l’action militaire américaine chez son allié australien, ne pouvant se résoudre à repartir à Washington.
    Adresse :

    Contexte familial : Il est inutile de préciser, que mis à part le réalisateur américain, l’homme les plus fameux de la côte Est des Etats-Unis, est le sénateur Darius Eastwood. Soutenu par le président même, c’est la deuxième fois qu’il rempile son mandat, pour le plus grand plaisir de son ex-femme qui touche une pension alimentaire plus qu’onéreuse. Autrefois pourtant, alors qu’ils étaient un couple tout à fait ordinaire, quoique séparés par la différence d’intérêt. Randall est l’unique fille de Darius Eastwood et a été même élevée dans sa villa immense à Washington et ce, même après la séparation de ses parents et le départ précipitée de sa mère à Los Angeles, pour épouser un richissime PDG d’une entreprise de logiciel informatique plus jeune qu’elle, cette fois. Gala, fête, représentation, meeting, la vie de la jeune Randall a été rythmé au sein d’une vie politique mouvementée. Omniprésente sur la scène publique auprès de son père, elle obtient grâce à lui une aide importante pour accéder au capitole en tant que conseillère. Contrairement à beaucoup de personne cherchant leur indépendance, Randall a toujours été plus que reconnaissante envers son père et ce devait donc d’être une fille modèle qui continue d’entretenir des liens forts avec lui ainsi qu’une place importante pour porter son message au sein de la politique interne. Peu désireuse de revoir sa mère en revanche, il lui arrive de l’avoir au téléphone de temps en temps – une fois par mois maximum – mais leur relation est devenue quelque peu houleuse.

    » PARTICULARITES

    Randall a toujours adoré arboré des coupes et des couleurs de cheveux tout a fait différentes et opposés par leur aspect. A l’origine blonde, elle a aussi été rousse et brune durant son adolescence. Aujourd’hui, elle est tout ce qu’il y a de plus blond, et adore varié les coiffures et sa spécialité réside dans son fameux chignon à la fois classe et négligé. De temps en temps, il lui arrive de se teindre quelques mèches en rose.
    La demoiselle est ambidextre et peut donc écrire avec ses deux mains avec une aisance assez impressionnante.
    Assez maniaque, elle a un besoin constant que tout dans son environnement soit absolument et impeccablement bien rangé, de telle façon à toujours avoir l’impression de tout contrôler. Chez elle, ses disques, livres et dvds sont classés par ordre alphabétique, ses vêtements par couleur et par marque, et au bureau, ses dossiers sont classés par date, genre, type et lettre. Le ménage est aussi sa bête noire, et dès qu’elle angoisse, elle se relaxe en faisant les poussières, passant l’aspirateur ou autre.
    Elle est a été reçu avec mention à l’université avec une double spécialité, remportant le grand prix de mathématiques et de sciences politiques. Une vraie surdouée, qui a sacrifié de nombreuses heures dans les livres. Aujourd’hui, contrairement à ce que beaucoup croient, les mathématiques lui servent chaque jour ainsi que les sciences en général, tel que la physique et la biotechnologie.
    Grâce à l’argent coulant à flot de Papa, Randall a la chance de posséder une garde robe extraordinairement diverses et riches. Chanel, Dior, Lanvin, Yves Saint Laurent, Kenzo, les importations françaises se multiplient au fil des années ; lors de Gala, elle est toujours la première à arriver drapée d’une robe d’une élégance et d’un chic rare. Son intelligence se voile derrière son physique plus qu’avantageux, ce qui l’énerve souvent, car de mauvaises langues s’amusent à dire qu’elle n’est pas aussi intelligente que belle, et qu’elle doit tout à son sénateur de père.
    Elle est allergique au poisson : urticaire, crise asthme, essoufflement, accélération du rythme cardiaque, perte de conscience, elle ne peut pas manger de poisson sans déclancher au moins un de ces symptômes si ce n’est tous. Bref, un vrai calvaire pour la demoiselle.

    » CE QUE LES AUTRES NE SAVENT PAS FORCEMENT

    Le plus grand secret qu’elle se garde bien d’avouer, est sa phobie maladive de l’eau. Plus jeune, elle tomba dans une piscine et cet accident déclancha depuis en elle une aversion de l’eau. Bien qu’elle ait appris à nager plus jeune, elle s’est à présent persuadée qu’elle se noierait si elle tombait dans une piscine ou dans la mer. Aujourd’hui, après le crash, ses phobies se sont quelque peu estompé pour laisser place à la phobie de l’avion. Impossible pour elle de voyager, coincé en Australie, ne pouvant rentrer chez elle. Une situation bien déconvenante, puisqu’elle doit travailler par radio conférence à présent
    Il est très difficile pour Randall de dire quelques monstruosités de langage, et en particulier des obscénités comme des gros mots ou parler crûment des choses. Elevée dans un monde très huppé, elle se doit d’être toujours tout à fait correcte et à chaque fois qu’un « merde » lui échappe, elle se maudira immédiatement après.
    Les personnes se sentant peu concerné par la politique ont un mal de chien à comprendre le rôle de Randall. La complexité de son rôle au sein de la sous-commission l’oblige à expliquer, lorsqu’elle est patiente, pendant plus d’un quart d’heure en quoi consiste son métier. Pour résumer, Randall est la conseillère du conseiller à la Défense, siégeant au National Security Council, auprès du président : elle est donc le lien direct entre les chefs d’armés et les directeurs de l’agence gouvernementale NSA et le conseiller. Le sous-conseil du Conseiller à la Défense permet d’établir à tout moment un rapport précis de l’état de l’action militaire dans et hors du continent américain pour qu’il transmette les informations au Président.
    Randall est peu douée en langue, et bien qu’elle maîtrise à la perfection l’anglais, elle a quelques soucis en français et ne parlons même pas de l’espagnol. Elle confond les mots et les quelques phrases qu’elle maîtrise c’est « Mets la table », « Tourne la chaussure », « Sucre sur le miroir » etc. …
    Plus jeune, son père l’a inscrite à des cours équitation et de gymnastique. Elle arrêta rapidement la gym, bien que douée, et s’adonna à l’équitation, sport dans lequel elle excelle. Aujourd’hui, elle préfère voir les chevaux de loin, et s’est promise de ne plus remonter sur le dos d’un des animaux, et de ne plus faire de sports.
    Elle n’a pas toujours aimé son prénom, et son nom de famille encore pire, étant sujette à de nombreuses moqueries à l’école. Aujourd’hui, elle s’y est plus qu’habitué, et elle a même adopté son patronyme.
    Sous ses airs un peu coincé, Randall est une véritable petite boule vie, et drôle : pleine de répartie et d’humour, elle croque la vie à pleine dents, une fois que vous la connaissez parfaitement. Son appétit de vivre se traduit aussi par une assez longue liste d’ex petits amis.


    » VIE, TELLE QU’ELLE ETAIT AUPARAVANT

    14 / 05 / 2005 - 14h28 : QUARTIER GENERAL DE LA NATIONAL SECURITY AGENCY - Randall is bit a bitch.

    Un léger son aiguë s’échappa du boîtier de l’ascenseur, au passage de la carte magnétique, et les portes épaisses en acier s’ouvrirent. Les bruits réguliers des Jimmy Choo Electra patent sandals en vernis noir à six cent quinze dollars résonnèrent sur le sol grisonnant des couloirs des bureaux de la NSA, alors que Randall Eastwood pénétrait dans l’ascenseur, la tête plongée dans un dossier bordé de carton souple beige. Suivit d’un pas rapide et nerveux, elle ne leva pas les yeux vers Doug et lança, toujours plongée dans son rapport un « Deuxième étage » à peine murmuré. Ce dernier hocha frénétiquement de la tête, appuyant sur le bouton et se reculant au fond de l’ascenseur. Tandis que la cabine s’élevait au son mélodieux de Chopin, la jeune Conseillère soulevait les pages imprimés sur bout de ses doigts manucurés, tapotant nerveusement son menton, le bout de sa sandale droit battant nerveusement le sol, faisant soulevé sur sa cuisse la petite robe en mousseline noir Fendi. Derrière elle, le stress de Doug qui transpirait dans son pull bleu marine aux motifs en losange tricotés, était palpable. Il sursauta d’ailleurs à l’ouverture des portes et Randall ferma sèchement le dossier, s’élançant alors dans le couloir d’un pas rapide. Doug se mit à trottiner derrière elle, paniqué.
    « Vous savez nous avons d’autres services qui offrent des plans de … »
    « Doug ne faites pas l’imbécile, je ne suis pas ici pour voir ce qui va bien ... »

    Doug hoqueta, et continua de trottiner derrière elle, alors qu’il passait devant les grands bureaux aux baies vitrés. Ce n’était pas le métier le plus marrant du monde, en faite il était très chiant, mais le simple plaisir d’enfoncer des hommes en les accablant au nom du pays et en plus du haut de votre statut de femme était la chose la plus excitante du monde.
    « Heum, c’est là. » lança soudain Doug, Randall se figea immédiatement, et pivota à quatre vint dix degré devant la porte.
    Elle frappa trois coups rapides sur le verre épais, et l’homme qui avait ôté sa veste et qui semblait roupillé sur sa chaise se redressa, invitant d’un signe de tête, à entrer. Elle ne se fit pas prier, et entra, claquant la porte juste derrière elle, coupant ainsi la route à Doug. Elle s’avança vers l’homme untel unit, âgé d’une trentaine d’années, plutôt bel homme. Il estompa sa cravate et tendit la main au dessus de son bureau, Randall ayant déjà replongé ses yeux dans le dossier.

    « Vous êtes monsieur … Michael Steele ? » Elle redressa alors la tête, et sursauta, voyant la main. « Mais…vous faites quoi là ? »
    « J’attends que vous me serriez la main ... »
    « Vous tenez vraiment à faire ça ? »
    « Pardon ? »
    « Me serrer la main. »
    « Pourquoi pas ? »
    Elle souffla, hocha la tête et soupira :
    « Je vais vous engueuler dans quelques secondes alors franchement les politesses on peut passer au dessus non ? »
    « Euh…C’est comme vous voulez … » bafouilla-t-il en présentant poliment le siège en face de son bureau, tandis qu’il s’asseyait en même temps.
    Randall s’assit, et rouvrit une nouvelle fois le dossier.

    « Bon j’aimerais beaucoup avoir quelques mots sur ceci … »
    Elle extirpa du bout des doigts une feuille, et la tendit à Steele, en montrant du doigt un chiffre à nombreuses virgules en bas de la feuille.
    « C’était une opération d’informations, j’ai déjà envoyé mon rapport à la Commission. » souffla Steele, sûr de lui.
    « Oui, ça j’ai bien vu, mais avouez que ce chiffre a fais sauter quelques bretelles à la Commission. »
    « C’est pourquoi vous êtes là … »
    « Oui, parce que je ne porte pas de bretelles. »
    L’agent Steele haussa les sourcils, mais ne put s’empêcher d’esquisser un sourire malicieux. Il croisa alors ses mains sur son ventre, et invita Randall d’un signe de tête à poursuivre.
    « Le gouvernement ne peut, en ce moment, pas se permettre de dépenser des sommes aussi astronomique en opérations militaires. La politique actuelle du président de s’ouvrir aux autres pays pour faire taire cette politique isolationniste que les opposants dénoncent, va à l’encontre de celle qui est établis par certains services de la NSA. Je veux dire qu’on ne peut pas avoir de telles dépenses, avec un budget qui se réduit à chaque réunion d’Etats, vous comprenez ? »
    « Oui bien sûr mais … »
    « Et on est pas dans un film d’action américains, l’argent n’arrive pas du gouvernement comme d’une vache à lait percée. On n’est pas des gogols, alors j’aimerais qu’à partir de maintenant les dépenses de la NSA se figent aux réunions barbecue et à la location de groupes country pour les fêtes chrétiennes. »
    « ... »
    « Bon maintenant que j’ai bien établis la nature de ma présence, que j’ai brisé la glace et bien rapporté le message de mécontentement de la Commission, je peux à présent vous inviter à dîner ce soir. »
    ...



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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyMar 3 Juin - 0:00

    II. Le crash

    Classe : Randall était en Première Classe, comme à son habitude d’ailleurs, car depuis qu’elle est toute petite, elle n’a jamais été en classe économique, grâce soit à l’argent de son père soit celui du Gouvernement.
    Aller ou Retour : La jeune Eastwood était sur le retour.
    Raisons : Elle revenait de Sydney avec trois autres conseillers de la sous–commission pour participer à une conférence sur les nouveaux développements technologique pour l’armement défensif des Nations Unis. Elle revenait à Los Angeles pour prendre ensuite un charter pour Washington pour pouvoir faire son rapport au Conseiller à la Défense du Pays.
    Objets sauvés : Lorsque Randall se réveilla sur l’île, elle se rend d’y compte d’avoir perdu à peu près toutes les affaires qu’elle possédait en cabine à ses côtés : sac, porte feuille, téléphone, ordinateur portable, et autres. En revanche, trois jours après le crash elle retrouva sa valise : vêtements, affaires de toilettes, documents, elle a du pourtant faire le tris et se séparer de ses quelques nombreuses robes et chaussures de marque pour se contenter du strict nécessaire pour survivre sur l’île : short, basket, débardeur, pinces à cheveux, etc.…
    L'île et vous : Le camping, la randonnée, la pêche, tout ça, n’était pas du tout le quotidien de Randall, même loin de là. A part de ce qu’elle a vu dans les films, elle n’avait aucune notion de comment survivre sur une île déserte. Grâce à ses connaissances, et les liens qu’elle tissa avec les survivants, elle réussit à s’adapter et à faire face à la difficulté d’être rien sur un bout de sable flottant sur l’eau. La plus grande difficulté, outre la faim et la soif, ou traverser une jungle sans hurler à chaque bruissements de feuilles, Randall a du survivre à sa phobie de l’eau : assise loin de la mer, à la lisière de la forêt sur le sable, elle n’arrivait pas à s’approcher de la mer sans sentir son cœur se soulever et avoir des nausées. Pourtant, chaque jour, ses pas se rapprochèrent doucement de l’eau, s’adaptant à elle et à son bruit : Aujourd’hui, elle peut aller sur la plage à Sydney en trempant ses pieds dans l’eau, juste à ses chevilles. Un véritable progrès, qu’elle doit à l’île. En revanche, même si l’île lui a permis de combattre sa peur, elle a aussi failli lui prendre la vie, lui faisant découvrir une allergie aux poissons qu’elle ne soupçonnait pas. Maux de tête, accélération cardiaque, fièvre, elle resta dans un état proche du coma pendant cinq jours. Elle ne mange dorénavant plus de poissons.


    » SOUVENIR SUR L’ÎLE

    15 / 09 / 2007 – 07h37 : ILE DESERTE – OMG Louboutin is on the Island.

    Randall écrasa un lourd bâillement, étirant ses bras, les yeux toujours clos. La brise maritime effleura son visage, l’enveloppant d’une odeur tiède et rassurante. Le bruit de l’écume s’écoulant lentement sur les berges sablées la sortit doucement de sa torpeur, ses yeux s’ouvrant enfin avec difficulté, s’adaptant lentement au Soleil brillant. Sa bouche pâteuse claqua lentement puis elle se redressa, ses pieds s’enfonçant dans le sable chaud. Elle s’avança, titubante, sa robe blanche Céline lui collant au corps. Elle n’aurait jamais cru autant détester une robe à 1350 dollars. Se baissant pour attraper ses sandales compensées blanches Chloé, elle prit une profonde inspiration, et s’avança sur la plage, évitant de regarder la mer. Lorsque ses yeux se redressèrent, le fuselage de l’avion gisait là, légèrement caché par la fumée grisâtre du reste du feu de camp que certains survivants avaient fait grillé cette nuit. Elle se stoppa, regardant en silence les quelques personnes qui s’affairaient de si bon matin à trier les bagages et à cacher de draps les corps mort de passagers. Les yeux de Randall s’égarèrent soudain, s’orientant lentement sur la lisière de la jungle avoisinante. A la lisière, elle reconnut alors un bagage noir fripé, tel un sac de sport, mais ciglé d’une grande marque. Elle plissa les yeux et s’élança alors, l’espoir lui tenant le cœur. Se rapprochant enfin, elle esquissa un large sourire, reconnaissant sa valise. Elle n’était partie que pour cinq jours et ne s’était donc pas encombrée d’une énorme valise. Elle se pencha alors devant le sac et chercha l’étiquette d’embarquements « Randall P. Eastwood ». Elle hurla un « YES ! » sonore qui n’échappa aux quelques personnes qui étaient non loin d’elle. Attrapant les hanses d’une main ferme, elle le souleva et se dirigea d’un pas sûr vers un petit coin à l’ombre où se trouvait un cadavre de fauteuil de première classe, où une petite blondinette sommeillait, fichée d’une paire de lunette de soleil et d’un grand chapeau de paille.
    « Alice … »
    « Hum. »
    « Aliceeee »
    « Huuuuum »
    « Tu dors ? »
    « Oui. »
    « Alors pourquoi tu réponds ? »
    Alice se redressa, ôta ses lunettes de soleil, les sourcils froncés et le regard noir. Randall ne connaissait pas cette demoiselle il y a une semaine, en vérité cela ne faisait que trois jours, depuis le crash, et pourtant, on aurait dis des amies de longues dates.
    « J’ai retrouvé ma valise … Tu m’aides ? »
    « …d’accord. »
    Alice se releva de son fauteuil et vint s’accroupir près de Randall qui faisait doucement roulé entre ses doigts le code secret de son cadenas puis l’ôta lentement avant de zipper son sac. Elle prit une profonde inspiration et souleva alors le tissus. Les yeux d’Alice s’arrondirent lorsqu’elle vit la tonne de paperasse qui gisait sur le dessus des vêtements.
    « Si ça ça s’appelle pas emmener son boulot en vacances je sais pas ce que c’est … »
    « Mais j’étais pas en vacances, je bossais. »
    « C'est ce qu'on dit. »
    Alice prit un dossier cartonné bordeaux, et Randall ne réagit même pas bien que pour certain il contenait d’importants secrets d’Etat. La petite blondinette commença à feuilleter le document avant de demander.
    « C’est qui ça Fillmore ? »
    « C’est un con. »
    « Non mais son métier. »
    « Ah oui, ben le Roi des Cons. »
    « … »
    « Non sérieusement, c’était l’ancien directeur de la NSA, et en fait, c’était un con, certes, mais il faisait bien avancer les choses. J’aime bien le citer quand je prépare des dossiers, ça fait souvent trembler les culottes les conseillers. »
    « Tu l’as connu ce Fillmore ? »
    « Ben sinon je me permettrais pas de le traiter de con. »
    Alice haussa les sourcils, esquissant un léger sourire, et déposa le dossier près d’elle sur le sable et avança discrètement sa petite tête pour tenter de voir le fond du sac de Randall. Cette dernière prit une profonde inspiration, et claqua ses mains sur ses genoux.
    « Allez c’est partis… » Souffla-t-elle, extirpant une première paire de Louboutin de vernis noir, au talon rouge.
    Le visage de Randall se ferma, entrant en profonde réflexion, tandis que les yeux d’Alice s’avançait tellement hors des paupières qu’on avait l’impression qu’ils allaient tomber.

    « Dites moi que je rêve… » Hoqueta Alice.
    Randall redressa sa tête et sursauta, voyant le visage d’Alice.
    « Ca va pas ? »
    « Oh ben maintenant si » s’écria Alice, tendant ses mains pour attraper les chaussures.
    La jeune Pollack fit tourner les chaussures dans ses mains le plus délicatement possible, les yeux émerveillés et les lèvres humectées de bave.

    « Dieu existe alors. » murmura Alice, hypnotisé.
    « Tu les veux ? »
    « QUOI ? » hurla Alice d’une voix suraiguë.
    Randall haussa simplement des épaules et reprenant une chaussure, elle l’inspecta rapidement, la faisant tourner devant elle avant de dire, en la tendant à Alice.
    « Je les remettrais pas sur l’île, vaut mieux que je m’en déleste…Et puis c’est qu’une pair à 390 dollars, j’en ai pleins d’autres à la maison. »
    « … »
    « Quoi ? »
    « Tu voudras pas m’inviter chez toi pour t’aider à faire le tris un jour ? »
    ...

    25 / 09 / 2007 – 00h54 : ILE DESERTE – I can’t sleep tonight.

    Les genoux coincés entre ses bras, le menton déposé sur ces derniers, Randall lâcha un profond soupir, assise sur une petite bute de sable, regardant la mer s’avancer et se retirer lentement au son cristallin qui lui donnait de plus en plus envie de hurler. C’était insupportable cette attente insupportable qui l’opprimait : elle pensait à son père, et à l’agent Steele, à Doug, à madame Pennyworth la femme de ménage, bref tout ce petit monde qui étrangement lui manquait. Elle frissonna alors, puis tourna doucement son visage vers les flammes rouges qui grimpaient dans le ciel dès que quelqu’un y lançaient un fauteuil ou un morceau inflammable de l’avion.
    « Est-ce que ça va ? »
    Randall sursauta, et releva son ses yeux, une grande forme caché par la pénombre. Elle plissa ses yeux, tentant de distinguer la personne : Randall avait une mémoire des visages et en un quart de temps elle avait déjà assimiler les visages de chaque survivant et leur avait d’ailleurs tous attribuer des profils. Par exemple, avant de vraiment connaître Alice, Randall l’avait intronisé la petite schtroumfette blonde. Elle esquissa un sourire, bien que convaincue que son interlocuteur ne le verrait pas.
    « Oui, oui ça va. »
    Il s’installa près d’elle et lui tendit une couverture bleue qui venait de l’avion, des premières classes, comme Randall en avait eu droit au décollage.
    « Tenez vous allez avoir froid. »
    Quelque peu intimidé, elle hésita un instant puis finit par la prendre, en hochant la tête.
    « Merci. » souffla-t-elle, distinguant enfin son visage grâce aux halots de lumière que générait l’immense feu de camp.
    Un silence lourd s’imposa enfin, rendant l’ambiance extrêmement gênante. Randall déplia en silence la couverture et s’enroula dedans, et lâcha un soupir de réconfort. On avait beau dire, mais le soir sur cette foutue plage, il faisait froid.

    « Vous ne dormez pas ? » demanda-t-il enfin, les bras appuyé sur les genoux.
    « Je suis un peu trop soucieuse en ce moment pour dormir. » murmura-t-elle en faisant glisser nerveusement des grains de sable entre ses doigts.
    « Vous devriez pourtant, sinon vous aurez des problèmes avec la chaleur. »
    « Vous êtes médecin ? » lança-t-elle ironiquement, quoiqu’un peu sèchement.
    « Non, enfin, j’aurais pu, enfin non je le suis pas. » dit il, baissant légèrement la tête en souriant.
    Randall haussa un sourcil et attendit quelques secondes avant de reprendre.

    « Vous êtes quoi alors ? Un pseudo médecin ? Ah non je sais un prophète de secte. »
    « Euh non j’ai juste fais une année de médecine. »
    Randall vira au pourpre, et remercia le ciel qu’il fasse noir pour la cacher. Elle se sentit quelque peu gênée et articula quelques plates excuses.
    « Ah, je suis désolée … »
    « Ce n’est rien. »
    Nouveau silence. Randall était une professionnelle. Elle n’était pas du genre excessivement sociale, enfin elle se mettait rapidement mal à l’aise quand les questions étaient plates de sens, et peu profonde en soit, elle n’aimait pas les rencontres.
    « Et vous faites quoi dans la vie vous ? »
    La jeune Eastwoord sursauta à la question qui la tirait de sa méditation.
    « Heum, non vous ne voulez vraiment pas savoir. »
    « Bien sûr, sinon je ne vous poserais pas la question. Pourquoi ? »
    « Parce que j’ai l’air complètement débile. »
    « Vous êtes vendeuse de Glaces ? »
    « Ben…non »
    « Joueuse de ping-pong ? »
    « ...Mais non ! »
    « Strip teaseuse ? »
    « OH NON ! »
    « Alors de quoi vous avez peur ? »
    Randall roula des yeux, soupirant, elle n’avait plus aucune issue, et bien qu’elle verrait le schéma se répéter encore une nouvelle fois. Elle prit une profonde inspiration et ouvrit la bouche :
    « Je suis conseillère au sein de la sous commission à l’action militaire au Capitole Américain et suis l’agent de relation entre le gouvernement et la NSA. » énuméra-t-elle sans respirer.
    Un nouveau silence s’installa et Randall comprit à quel point ils se sentaient tous les deux affreusement stupides sur le coup. Lorsque :

    « Je vois. »
    « Vous n’avez rien compris hein ? »
    « Bien sûr que si … »
    « Vous rigolez là ? »
    « Non. »
    « Ben si avouez que vous n’avez rien compris je suis habituée vous savez. »
    « Mais… j’ai compris. »
    « MAIS NON VOUS N’AVEZ PAS COMPRIS PUISQUE J’AI DIS QUE VOUS N’AVEZ PAS COMPRIS. »
    « Bon … »
    Encore un silence. Seul le bruit de la mer et les crépitements du feu détendaient l’atmosphère pesante. Randall se retourna enfin, de telle manière à être à présent face à lui, dans un geste brusque.
    « Non mais sérieusement … vous avez compris ? »
    « Oui, puisque je vous l’ai dis. »
    « Ca alors c’est fou, c’est la première fois qu’on me dit ça. »
    « Je vois vraiment pas pourquoi c’est clair pourtant. »
    « Il faut que je vous épouse vous alors … »
    Elle esquissa un sourire, ravie de la tournure que prenait la conversation, puis tendit sa main pour serrer celle de son interlocuteur : bien qu’il venait de papoter pendant quelques minutes, ils ne s’étaient même pas présentés.
    « Moi c’est Randall Eastwood, vous pouvez m’appelez Randie ou même Rambo comme Carl Douglas quand j’étais au lycée. »
    Peut être qu’il ne fallait pas voir que le côté négatif de cette île, peut être qu’il fallait y voir une espèce de nouvelle chance, de nouveau départ. Ou peut être qu’il évaporait des fumées qui vous attaquaient le cerveau et qui vous faisaient penser à des trucs aussi débile que la notion de destin.

    (To be continued...)






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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyMar 3 Juin - 0:02

    III. Conséquences

    Don : Beaucoup de dons peuvent se montrer de façon très explicites qui vous font douter immédiatement de ce que vous êtes, et de tous ce à quoi vous avez été habitué à voir, à connaître. Pour d’autres, c’est plus compliqué : ils vous pousse à douter, à craindre pour votre entourage, vous demander si vous n’êtes pas fou et si vous êtes bon à être enfermé. Pour Randall il est évident qu’elle se classe dans la seconde partie : la demoiselle n’est pas encore tout à fait consciente de son don mais elle a hérité du don de voyance. Capable de prédire l’avenir, elle est prise de flash lorsqu’elle s’endort. Passé, présent, futur, les seules bribes d’informations qu’elle puisse percevoir se manifestent quand elle ferme les yeux, s’endort le soir ou quand son esprit se fixe sur quelque chose de précis, ou qu’elle percute quelqu’un ou quelque chose violement. Se réveillant en sueur au milieu de la nuit, elle craint de plus en plus de s’endormir et subit souvent de violentes migraines qui l’oblige à rester allonger le temps que cela passe, ce temps étant tout aussi aléatoire pouvant aller de quelques minutes à heures voire des jours. Pour le moment, elle interprète ces « visions » comme simple fruit de son imagination débordante, et comme réponse de son cerveau au traumatisme du crash, alors qu’il n’en est tout autre en réalité. Ces flashs devenant de plus en plus récurant, plus longs et plus clairs, elle va devoir à un moment où un autre se rendre à l’évidence et comprendre que ce ne sont pas des tours de son cerveau mais bel et bien des données réelles sur un futur, un présent ou un passé concret.

    » CE QUI A CHANGE


    IV. Autres

    – Elle collectionne les Louboutins et les Jimmy Choo.
    - Elle adore les petits pois.
    - Elle chante souvent Gloria Estefan sous la douche, surtout You’ll Be Mine.
    - Tout ses ex vous le diront, Randall a un don incroyable pour embrasser. Dire qu’elle excelle dans cette discipline serait un euphémisme sur ses réelles compétences.
    - Plus jeune, elle voulait être propriétaire d’un petit bar en bois sur une plage, et offrir des boissons dans des noix de coco.
    - Elle a une préférence prononcée pour les bruns.
    - C’est une pro de la Air Guitar, et il lui arrive souvent de sauter sur son lit en short et débardeur, secouant ses cheveux dans tout les sens, imitant une basse au son de Hoku, Perfect Day .
    - Elle adore lancer la nourriture, surtout les pop corn au cinéma et les cacahouètes.
    - Elle a un besoin maladif de toujours toucher les cheveux des autres.
    - Elle est du genre généreuse impulsive, et donne souvent des chaussures, bijoux ou robes à Alice sans vraiment y penser.
    - Elle adore se préparer son petit déjeuner le matin en dansant et chantant.
    - Elle a un chat gris nommé Gaufrette qui se pointe une fois par mois dans son appartement, sortant du Dieu sait où, et repartant aussi discrètement qu’il est venu.
    - Quand elle voit un rat, elle hurle, trépigne, saute, et monte sur une chaise en chouinant.
    - Elle est hyper sensible, et d’ailleurs elle pleure très souvent : un film poignant, un livre triste, une déclaration émouvante, un petit mot gentil, bref elle a la larme facile.
    - Elle déteste conduire et préfère le taxi.
    - Elle adore les films des années 40 et Russell Crowe.
    - Quand elle boit du thé le matin, elle fait pipi treize fois par jour.
    - Elle n’a jamais été particulièrement touchée par un bouquet de roses rouges, mais plus par une fleure simple, sa préférée, un tournesol.
    - Elle a une peur bleue des armes à feu et déteste que les personnes qu’elle apprécie le plus en porte, d'ailleurs ça l'énerve au plus au point et fait souvent scandale, ce qui est totalement contractitoire avec son travail, source évidente de conflit avec Stephen quand ils en parlent.
    - C’est une excellente décoratrice, d’ailleurs quand elle s’ennuie dans un hôtel, elle redécore la chambre.
    - Elle est contre la fourrure.
    - Elle a toujours rêvé d’avoir une petite sœur, chose qu’elle retrouve dans sa chère et tendre Alice.


    Avatar : Rachel McAdams. I love you

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    Garçon ou fille : Une Reine.
    Où avez-vous connu le forum ? Je n'aurais pas du passer la nuit avec Sawyer ... Randall EASTWOOD | In a plastic box 586757
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Dernière édition par Randall Eastwood le Mar 17 Juin - 12:42, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyMar 3 Juin - 0:24

Epouse-moi Randall EASTWOOD | In a plastic box 751607
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyMar 3 Juin - 0:28

OUIIIIIIIIIIII. Randall EASTWOOD | In a plastic box 17581
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyMar 3 Juin - 0:28

Je t'aime Randall EASTWOOD | In a plastic box 751607
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyMer 4 Juin - 0:06

Ma dâreuse, je t'aime Randall EASTWOOD | In a plastic box 740698
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyMer 4 Juin - 17:25

J'ai envie d'aller me promener sur Jupiter Randall EASTWOOD | In a plastic box 586757

Je te n'aime Randall EASTWOOD | In a plastic box 728534
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyVen 6 Juin - 12:28

J'adore ton anecdote Randall EASTWOOD | In a plastic box 579891
N'empêche c'est une coquinette Randie Randall EASTWOOD | In a plastic box 586757
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyVen 6 Juin - 12:44

On dirait pas comme ça hein, mais elle perd pas le Nord. Laughing Arrow
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyVen 6 Juin - 12:55

Citation :
« Oui, ça j’ai bien vu, mais avouez que ce chiffre a fais sauter quelques bretelles à la Commission. »
« C’est pourquoi vous êtes là … »
« Oui, parce que je ne porte pas de bretelles. »

Mon passage préféré Randall EASTWOOD | In a plastic box 586757
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyVen 6 Juin - 13:12

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Elle a sa propre logique. Laughing
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptySam 7 Juin - 21:12

Il va trop falloir faire le flashback genre :

" Et vous vous appelez ? "
" Stephen, Stephen Fillmore."
" ... "
" Fillmore comme Fillmore ancien directeur de la NSA ? "
" Fillmore comme celui que vous venez de traiter de con oui. " Randall EASTWOOD | In a plastic box 586757

En plus il est décédied Randall EASTWOOD | In a plastic box 518723
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptySam 7 Juin - 21:16

Ah ça va être trop marrant Laughing
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptySam 7 Juin - 21:49

Randall EASTWOOD | In a plastic box 991531
La honte tu sais. Laughing
"Vous êtes le fils de ... ?"
"Oui."
"Ah ben je suis désolée mais c'est un con."
"Etait."
"Pardon ?"
"Il est mort."
"...c'est moi qui me sens con là".
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptySam 7 Juin - 22:49

AH J'ADORE Randall EASTWOOD | In a plastic box 65833

PUISQUE JE VOUS DIT QUE VOUS NE COMPRENEZ PAS Randall EASTWOOD | In a plastic box 991531
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptySam 7 Juin - 23:02

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Tu sais la meuf pas du tout caractérielle. Randall EASTWOOD | In a plastic box 991531
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyDim 8 Juin - 0:27

"la petite schtroumfette blonde"

Putain j'adore ta fiche j'ai pas le temps de tout citer, mais le coup du thé et du pipi c'est extra, ça me fait pareil Randall EASTWOOD | In a plastic box 991531
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyDim 8 Juin - 0:45

Qu'est ce que tu crois je parle par expérience. Randall EASTWOOD | In a plastic box 991531
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box EmptyDim 8 Juin - 1:08

LA NERVEUSE ROLALAH Randall EASTWOOD | In a plastic box 991531
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MessageSujet: Re: Randall EASTWOOD | In a plastic box   Randall EASTWOOD | In a plastic box Empty

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